enseignants de mathématiques, passionnés par leur métier, nous en parlent.
« Je n’ai jamais été une très bonne élève mais dès le CP, j’aidais la maîtresse à corriger les cahiers de maths de mes camarades. En 4ème, j’ai eu un déclic : mon enseignant m’a donné envie d’être moi-même professeur de mathématiques. C’est à ce moment-là que ma vocation est née ! Après plusieurs années d’études, je me suis retrouvée pour la première fois devant des élèves. Je n’ai pas eu peur : j’étais à ma place et je m’y sentais bien ! Au quotidien, ce qui me plaît, c’est la joie d’un élève de 6e qui arrive à faire sa division tout seul. D’un autre en 5e, qui a du mal à faire ses exercices, et qui grâce à la classe inversée, y parvient. Par ailleurs, la co-animation lors d’EPI est aussi l’occasion de les voir impliqués et très investis dans leur travail. En classe, le temps passe très rapidement. Le travail n’est jamais le même : je ne connais pas la routine ! Certes, être enseignante, c’est avoir beaucoup de vacances, du temps libre, mais c’est aussi beaucoup de temps de recherche et de préparation des cours. Ces préparations (création des vidéos pour le cours, des feuilles d’exercices, mise à jour du site internet, etc.) sont toujours faites dans le but d’intéresser les élèves. En fait, je ne suis jamais réellement en vacances : je pense toujours aux prochains cours ! »
enseignants de mathématiques, passionnés par leur métier, nous en parlent.
« Je n’ai jamais été une très bonne élève mais dès le CP, j’aidais la maîtresse à corriger les cahiers de maths de mes camarades. En 4ème, j’ai eu un déclic : mon enseignant m’a donné envie d’être moi-même professeur de mathématiques. C’est à ce moment-là que ma vocation est née ! Après plusieurs années d’études, je me suis retrouvée pour la première fois devant des élèves. Je n’ai pas eu peur : j’étais à ma place et je m’y sentais bien ! Au quotidien, ce qui me plaît, c’est la joie d’un élève de 6e qui arrive à faire sa division tout seul. D’un autre en 5e, qui a du mal à faire ses exercices, et qui grâce à la classe inversée, y parvient. Par ailleurs, la co-animation lors d’EPI est aussi l’occasion de les voir impliqués et très investis dans leur travail. En classe, le temps passe très rapidement. Le travail n’est jamais le même : je ne connais pas la routine ! Certes, être enseignante, c’est avoir beaucoup de vacances, du temps libre, mais c’est aussi beaucoup de temps de recherche et de préparation des cours. Ces préparations (création des vidéos pour le cours, des feuilles d’exercices, mise à jour du site internet, etc.) sont toujours faites dans le but d’intéresser les élèves. En fait, je ne suis jamais réellement en vacances : je pense toujours aux prochains cours ! »